Un claquement de doigts, et tout change
Il ne s'est passé que 6 mois, et pourtant j'ai TELLEMENT de choses à vous raconter
WOW.
Ok.
Cette petite (grande) pause de Substack n’était pas, mais alors ABSOLUMENT pas prévue au programme. Même pas vraiment souhaitée, à vrai dire. Et pourtant tellement salvatrice. J’ai pris le temps de me plonger à 100% dans mes projets (on va en parler), de vivre un peu, de réfléchir. Je ne saurais pas mieux l’expliquer que cela : je me suis beaucoup remplie sans me vider. J’ai pris le temps d’être silencieuse.
Je commence cette newsletter le vendredi 23 mai 2025, à la Félicita, où j’attends ma copine Clara Héraut avec qui je vais passer l’après-midi. Update : Justine Buhl et Marion Ferhel nous ont rejointes et c’était très chouette.
Je la termine le vendredi 20 juin à Noyers-sur-Serein, un petit village médiéval de Bourgogne (le plus beau !!), à La Porte Peinte, un café associatif / artistique (qui propose des résidences d’artistes, si jamais), avec un bissap hibiscus-gingembre-menthe-citron, la vie est douce, je vous assure.
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On ne s’est pas beaucoup vus, vous et moi, récemment. Et pour cause, comme je vous le disais, j’ai beaucoup, BEAUCOUP travaillé, et je n’avais pas grand-chose à partager. J’ai été assez peu présente sur Instagram pendant quelques temps, et puis beaucoup plus ces deux-trois dernières semaines, un peu irrégulière dans le podcast et un vrai petit fantôme par ici. En revanche aujourd’hui, au bout de 6 mois, je me rends compte que j’ai envie de vous faire une petite rétrospective de ce temps qui a passé.
Depuis ma dernière lettre, tout a changé, et en même temps… Rien du tout ?
Le 7 janvier 2025, je vous parlais ce que ça fait, d’être dans sa vingtaine. Ou plutôt de ce que ça me fait. Ce que ça signifie pour moi. Les expériences que l’on accumule comme sur une carte à gratter, les souvenirs, les peurs et les réussites, les chemins qu’on prend, ceux qui nous semblent trop escarpés pour qu’on s’y risque, ceux qu’on ne comprend qu’une fois au sommet. Bref, je vous parlais de tout ça. Si jamais vous l’avez loupée, je vous mets le lien pour la lire (gratuitement) juste ici. D’ailleurs, j’en profite, je voulais vous dire un grand, un IMMENSE merci pour l’accueil que vous lui avez réservé, aussi bien sur Substack que dans mes messages privés sur Instagram et tous vos partages. On ne sait jamais comment les mots que l’on publie sur Substack vont être reçus, s’ils feront la différence ou non, et chaque fois vous me prouvez que j’ai raison de vous écrire. Alors merci (oui, encore) <3
Et puis maintenant… C’est parti pour le récap’ de ces 6 derniers mois !!!
PS : dans toutes mes newsletters, quand vous voyez du texte en couleur, c’est qu’il s’agit d’un lien cliquable ;-)
PPS : n’hésitez pas à ouvrir la version web ou Subtack de cette lettre car j’ai beaucoup d’images, elle risque donc de ne pas s’afficher complètement.
Le sommaire :
JANVIER : Le Fipadoc, mon tout premier festival de films
FÉVRIER : Ski option commotion cérébrale et entorse (lol)
MARS : le rush, le rush, le rush
AVRIL : Tournage et écriture en Bourgogne
MAI : écriture, film et déménagement
JUIN : du repos et de la verdure
🎬 JANVIER : Le Fipadoc, mon tout premier festival de films





Ah là là ! Quelle aventure ce Fipadoc ! Pour le contexte, je viens, au moment où je vous écris, de finir mon master 1 "Fiction et Documentaire” à l’École W, et en gros, on apprend à écrire, produire et réaliser des films, que ce soit en fiction du réel ou en documentaire. Et cette année, nous sommes partis en voyage scolaire à Biarritz à l’occasion du Fipadoc, un grand festival dédié au documentaire télévision et cinéma, hyper fréquenté des professionnels du milieu et une magnifique occasion de découvrir des films dans pleins de catégories différentes (ma préférée étant “Jeune Création” qui présente des films réalisés dans le cadre d’études supérieures).
J’ai donc eu l’occasion de découvrir le Pays basque (sous la tempête) et surtout SURTOUT de voir de magnifiques films documentaires qui m’ont plus que jamais donné envie de réaliser les miens. Voici ma petite liste de films que je vous recommande les yeux fermés, ainsi que ceux que je voudrais voir absolument :






YINTAH de Brenda Michell, Michael Toledano et Jennifer Wickham : un film d’une puissance ABSOLUE sur le ravage des terres Wet'suwet'en, une première Nation au Canada dont le territoire ancestral (le “yintah”) est convoité par des compagnies d’énergies fossiles. C’est absolument magistral, puissant, époustouflant, émouvant. Je recommande x1000.
CONFESSION de Rebeka Bizubova : Un court documentaire absolument bouleversant dans lequel une jeune femme parle pour ma première fois des abus qu’elle a subis de la part d’un prêtre. C’est la libération de la parole d’une adolescente, le silence qui vole en éclat. Un final absolument saisissant, qui nous a tous laissés bouches bées. C’était hyper puissant, mais je ne sais pas où on peut le visionner…
L’ULTIMA ISOLA de Davide Lomma : Alors qu’un groupe d’amis passe la nuit dans une crique de leur île natale de Lampedusa, un bateau fait naufrage tout près de l’île. À son bord, des centaines de personnes venus trouver refuge en Europe au prix d’une traversée meurtrière. Je ne vais pas mentir, je n’ai JAMAIS, je dis bien JAMAIS autant pleuré devant un film. Une vraie madeleine.
LES SIRÈNES DE DIEPPE de Nicolas Engel et Nicolas Birkenstock : À l’occasion d’une soirée exceptionnelle à la Fémis, que j’ai eu le plaisir d’organiser pour l’École W, nous avons projeté “Les Sirènes de Dieppe” et quel plaisir ! On suit un cabaret drag installé à Dieppe, sur la côte normande. On rit, on est émus, on sourit… Bref, une très très belle découverte !
INSTRUMENTS OF A BEATING HEART de Ema Ryan Yamazaki : Rien à voir. Pour le coup, on suit une jeune écolière japonaise qui tente d’intégrer le groupe de musique de son école. C’est craquant, c’est drôle, c’est touchant. Il a été projeté durant la cérémonie de clôture du Fipadoc, et je crois qu’il a mis tout le monde d’accord ! Et nommé aux Oscars, s’il vous plaît !
BLACK BOX DIARIES de Shiro Ito : Pour le coup, c’est le seul film de cette sélection que je n’ai pas vu, alors même qu’il est sorti en salles en France (la honte). Mais il a l’air absolument incroyable et je sais de source sûre qu’il est génial !
⛷️ FÉVRIER : Ski option commotion cérébrale et entorse (lol)





Hahahahaha. Lol. J’avais VRAIMENT pas besoin de ça, en fait. Mais écoutez, une bosse lors d’une course (oui, je fais du ski en compétition depuis mes neuf ans, c’est l’une de mes nombreuses passions) a eu raison de moi et j’ai fait un vol plané de plusieurs mètres, qui m’a valu un bleu de la taille d’une feuille A5, une commotion cérébrale et une entorse au pouce. Pour autant, j’ai bien écrit cette semaine-là, alors que je venais tout juste de recevoir les retours généraux de mon éditrice.
Je n’ai pas trop la place de vous détailler ici tout le processus éditorial du tome 1 de Dissidentes mais promis, je vais vous écrire une newsletter à part, bien complète, dès que j’aurais fini le travail édito (le livre part à l’impression le 30 juillet omg !!!).
Mais donc, j’ai quand même bien pu avancer entre deux schuss et une fondue. C’était aussi l’occasion de passer du temps avec mes petits frères de neuf ans (des terreurs) et en famille, avec mon père et mon grand-père notamment. J’ai profité de mes montagnes et aussi, peut-être, trouvé le sujet d’un documentaire que j’aimerais développer. Enfin je ne sais pas, on verra. Mais je garde ça sous le coude.
Update : comme cette newsletter a été écrite en deux temps, je me suis décidée sur mon film de M2, et je pars sur cette idée hihi.
☕️ MARS : le rush, le rush, le rush




Je suis retournée faire un petit tour dans mon agenda de mars et j’ai failli faire une syncope tellement il était chargé. En mars, j’ai énormément travaillé sur le tome 1 de Dissidentes. Je suis allée à un concert de David Kushner à l’Olympia avec l’une de mes meilleures amies. J’ai beaucoup BEAUCOUP écrit dans un café avec mes writing buddies Martin et Marie. J’ai écrit le scénario de mon premier court-métrage À l’heure où blanchit la campagne, beaucoup travaillé sur la production du film (recruter l’équipe, trouver les décors, préparer le tournage, caster les acteurs, etc). On m’a donné des billets pour aller voir “Y’a plus de saisons” de Swann Périssée avec Marie (on s’est bien marré). J’ai eu mon alternance de M2 (youpiiiiii). J’ai participé à mon tout premier Festivelly, et c’était trop chouette ! Je suis BEAUCOUP allée à l’escalade…
Bref, un mois assez studieux mais plutôt joyeux, rempli d’après-midi dans des cafés parisiens, d’écriture, d’escalade et de préparation de mon film.
🎥 AVRIL : Tournage et écriture en Bourgogne









En avril aussi, le programme était chargé. Et pour la première fois depuis longtemps, je ne suis pas passée loin du carnage. Concrètement, en un mois, il fallait :
Que je produise et tourne mon premier court-métrage
Que je termine ma BIG réécriture / restructuration de Dissidentes
Que je fasse la post-production de mon court-métrage
Et pour ça, j’ai passé trois semaines dans l’Yonne, chez ma grand-mère (où je suis aussi depuis début juin). J’ai pu reprendre mes cours de céramique, créer plein de petites choses pour moi et mes proches.
Mais surtout, j’ai tourné mon film À l’heure où blanchit la campagne et je n’ai qu’une chose à dire : j’ai eu l’impression de faire un marathon au rythme d’un sprint. Deux jours et demi de tournage pour un film de 10 minutes, c’est TRÈS peu, surtout pour un film aussi ambitieux (pour rappel, il s’agit d’un thriller psychologique dans lequel une jeune journaliste découvre que sa grande-tante pourrait être l’une des victimes jamais retrouvées de l’un des plus grands serial killers du XXe siècle). Nous étions tenus par les calendriers des uns et des autres, ce qui nous a obligés à tourner sur très peu de temps et sur des plages horaires… intenses. 5h du matin —> minuit et demi, le premier jour, 8h du matin —> 2h heures du matin le deuxième jour. LOL.
Après ça, alors que j’étais complètement lessivée comme je ne l’ai jamais été dans ma vie (et une allergie qui m’a rendue malade toute une nuit), je me suis rendue (dans un état second) au Festival du Livre de Paris où j’ai eu la chance d’interviewer pour la deuxième fois l’autrice américaine Alex Aster. C’était un moment particulièrement émouvant pour moi car c’est en partie grâce à elle que j’ai trouvé le courage de terminer l’écriture de Dissidentes en 2022, alors que j’étais si profondément empêtrée dans ma dépression que je songeais à tout laisser tomber. J’ai aussi pu retrouver mes copains / copines au Festival et c’était vraiment un chouette moment.
La semaine suivante, mon accolyte Adélina est venue passer une semaine en Bourgogne et nous avons autant profité de la région que travaillé sur notre projet de roman à quatre mains. Nous avons peaufiné notre dossier de présentation et avons presque terminé le synopsis.
Vous le savez sûrement, mon autrice préférée de tous les temps est Victoria Schwab. J’aime autant ses romans que sa vision de la vie. Sa manière de parler d’écriture m’inspire énormément et j’attends sa newsletter mensuelle comme des enfants le matin de Noël. Il se trouve que dans sa newsletter, Victoria a parlé pendant très longtemps de son roman Quand nos os retourneront à la terre / Bury Our Bones in the Midnight Soil avec le nom de code “BONES”. Et je trouve ça très chouette, c’est pourquoi j’ai suggéré à Adélina que nous trouvions un nom de code pour notre projet à quatre mains, et nous sommes tombées sur : CIEUX.
Ce n’est donc évidemment pas le titre complet de cette réécriture mythologique, mais c’est l’un des mots qui le composent. CIEUX is on her way messieurs dames !
Et puis surtout, ces mois de mars et avril ont été très mais alors TRÈS chargés en écriture. Pour vous donner une idée, je suis partie avec un tome 1 à 100K mots, je suis arrivée avec près de 140K mots (sachant que j’ai aussi supprimé pas mal de choses, ça vous en dit long sur la quantité de choses remaniée dans cette réécriture). Voilà. RIP mon éditrice.
📦 MAI : écriture, film et déménagement









En mai, j’ai aussi BEAUCOUP écrit et les Épreuves Non Corrigées de mon roman sont parties à l’impression, puis ont été envoyées / distribuées aux représentants (les commercieux, ceux qui sont en gros chargés d’aller convaincre les libraires de prendre mon livre et de le mettre en rayon) de Didier Jeunesse.
Par ailleurs, j’ai eu beaucoup de (grosses) galères sur la post-production de mon film. Finalement on a réussi à tout faire rentrer dans les clous, mais je vous jure que j’ai eu quelques nuits blanches et beaucoup de sueurs froides. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais je vous assure que les prochaines fois, je ferai bien plus attention à qui je confie mes projets…
Et presque comme sur un coup de tête, j’ai déménagé. Cela faisait un an que je vivais à Paris dans 14m2 insalubres (oui, ici on dit les termes). Les murs étaient tellement moisis en hiver que j’ai été malade en permanence de novmebre à mars, j’avais 12°c avec le chauffage à bloc… Enfin bref, c’était petit et sans (oui, SANS AUCUNE) isolation, donc ce n’était plus possible. En l’espace de 48h, un miracle s’est produit et j’ai réussi à trouver un nouvel appartement beaucoup plus spacieux (26m2) pour à peine plus cher que l’ancien, et surtout avec un confort de vie qui n’a rien à voir. Heureusement que Martin m’a aidée à déménager parce que TOUT faire solo, ça aurait été difficile, qui plus est la semaine de mon oral de fin de master 1 (lol).
🍃 JUIN : du repos et de la verdure









Ce n’est qu’en juin que pour la première fois depuis des mois, j’ai pu souffler un peu. Pour être honnête, je me suis sentie très proche du mental breakdown (pour ne pas dire du burn out parce que sinon je vais avoir Adélina sur le dos)(cette meuf est mon filet de sécurité) sur la fin du mois de mai et juin est arrivé juste à temps.
J’ai passé presque tout le mois de juin en Bourgogne, au vert chez ma grand-mère, à profiter de la campagne, de la rivière et de l’atelier de céramique.
Pour autant, voici les temps forts de mon mois :
Le 3 juin, j’ai parlé pendant 10 minutes de mon roman devant une salle comble de représentants de Didier Jeunesse et ai passé la journée avec les filles de ma maison d’édition, et c’était TROP chouette.
Le 6 juin, j’ai vu pour la cinquième fois (oui, vous avez bien lu) Ed Sheeran en concert au stade Vélodrome à Marseille. Comme chaque fois, c’était un moment fantastique. J’en ai profité pour passer quelques jours chez ma mère et au bord de la piscine.
Le 12 juin, mon court-métrage a été projeté à la Fémis, et mes deux grands-mères et mon père sont venus à la projo, c’était très fort en émotion et hyper impressionant de voir son film sur grand écran.
Le 23 juin, j’ai eu l’opportunité d’être présente à la journée des libraires du groupe Hatier, où j’ai pu présenter mon roman Dissidentes devant pas moins de 200 personnes (gloups) et faire la rencontre de plein de professionnels du livre. J’ai pu voir pour la première fois à quel point les gens étaient réceptifs à mon pitch et à quel point ils étaient entousiastes de la sortie de mon roman. C’était magique !
Extrait du tome 1 de Dissidentes 🔥
On ne perd pas les bonnes habitudes, voici un extrait inédit du tome 1 de Dissidentes, avant le travail édito, donc il ne s’agit pas d’une version définitive.
— Jo ! Ça fait longtemps !
— Salut. Je viens récupérer ma commande.
— De ?
— Deux panneaux solaires monocristallin cent-soixante-quinze watts et un régulateur MPPT.
Évidemment, il n’a pas compris un mot de ce que je viens de dire. Pour faire illusion, il acquiesce et me fait signe d’avancer. Alors que Nico et son acolyte se lèvent, Manu leur indique de me laisser entrer sans passer par la case fouille au corps – ce qui m’arrange bien, au vu du semi-automatique pressé contre mon bassin. Je pénètre aux côtés de Manu dans l’ancien supermarché réinvesti par la milice pour distribuer les denrées alimentaires et de première nécessité à la population. Nombreux sont ceux, notamment dans les zones rurales, qui préfèrent passer par le marché noir, mais pour les plus grosses pièces comme celles que je viens chercher, impossible de trouver le moindre fournisseur. Je récupère un caddie branlant sur le côté et passe un portique qui grince en s’ouvrant. Lorsque l’avant-bras du quinquagénaire s’abat sur mes épaules, je me raidis.
C’est le début de la partie.
En jeu ? Ma liberté.
Remportez un exemplaire des ENC 📖
Et voilà ! J’ai essayé d’être succincte, mais résumer 6 mois aussi intenses dans une seule newsletter, c’était un vrai challenge. Je suis très heureuse que vous m’ayez lue jusqu’au bout.
Pour vous remercier, j’ai deux petites choses à vous proposer. La première est un morceau de la couverture du tome 1 de Dissidentes.
Vous êtes prêt·es ??
Alors ?
VOUS ÊTES PRÊT·ES ?
🥁🥁🥁
Oui JE SAIS que ce n’est pas grand-chose (d’autant plus qu’il s’agit des crayonnés colorisés et pas de la couverture finale que je n’ai pas encore), mais je tiens à vous garder la surprise pour le 1er août (date du cover reveal !!).
La deuxième chose est ni plus ni moins qu’un EXEMPLAIRE des ENC de Dissidentes. Et oui, comme je vous bichonne vraiment sur cette newsletter, je vous propose de remporter l’un des quatre exemplaires que je vias faire gagner des ENC (1 sur Instagram, 1 sur TikTok et le dernier dans la prochaine newsletter hihi).
Pour participer à ce tirage au sort, rien de plus simple ! Je vous demande simplement de laisser un commentaire à cette publication ! Le tirage au sort se fera le mercredi 2 juillet.
En bonus, n’hésitez pas à partager cette newsletter autour de vous : que ce soit dans vos notes Substack, par mail ou sur les réseaux en me tagguant, libre à vous !
Assurez-vous de checker vos notifications car je contacterai le ou la gagnant.e directement par mail ou via Substack dans les prochains jours.
Sur ce, je vais finir mon bissap avant qu’il ne se soit complètement réchauffé et je vous dis au mois prochain (promis) pour une nouvelle newsletter.
Des bisous,
Tosca
En tant que FAN de dystopie, je reviens sur la newsletter pour tenter de remporter l'ENC de Dissidentes (et pour le morceau de couv en avant première, holala ! 👀) Trop hâte de découvrir ton univers ! 🍃
Je participe également pour les enc :)