Vacances d'été, rapport au travail, ce que j'ai appris de Dissidents et JT de TF1
☕️ Un thé ensemble en été
Heyyyyyy ✨
J’ai l’impression que ça fait une ÉTERNITÉ que l’on n’a pas discuté vous et moi (j’ai même du mal à taper sur mon clavier, c’est dire) alors que ça ne fait qu’un mois et demi qu’est sortie ma dernière newsletter ! Comme quoi, j’aime vraiment ce format (et j’espère que vous aussi !).
Vous êtes de plus en plus nombreux·ses à me lire, et ça me fait chaud au coeur. Merci beaucoup pour votre fidélité et vos messages, ils me touchent beaucoup. D’ailleurs, vous saviez que vous pouviez répondre à cette newsletter en cliquant sur ce lien juste ici ?
Pour rappel, cette lettre est le 8e numéro de “Lis mes ratures”. Si vous souhaitez retrouver les numéros précédents, ça se passe par ici !
Je suis Tosca, autrice, lectrice, podcasteuse et étudiante en journalisme. J’écris des romans young adult et de la poésie, je partage mes lectures éclectiques sur Instagram et mon podcast “Lit Thé Ratures” est dédié à l’écriture et au monde de l’édition.
Dans cette newsletter mensuelle, le temps d'un thé ensemble, je vous partage mon carnet de bord de jeune autrice, mes évènements à venir près de chez vous, des anecdotes, des infos en avant-première (et en exclusivité 👀), des réflexions sur le monde du livre et l'écriture, des tranches de vie et des recommandations culturelles ✨
Enjoy !
🧗♀️ Mes vacances d’été
👩🏼💻 Mon rapport à l’écriture et au travail : osciller entre le bore et le burn out
Mon histoire avec l’écriture
J’essaye de me comprendre et de respecter mon rythme
Faire le tri et faire des choix
Ce que j’aimerais (idéalement) mettre en place à la rentrée
🧙🏻♀️ Ce que j’ai appris de l’écriture du tome 1 de Dissidents
🎨 Une pile de recommandations (de quoi vous sustenter à la plage)
📰 POINT PRESSE : Ce mois-ci, vous avez pu me retrouver au JT de 20h de TF1. Oui, rien que ça. Moi-même, je dois avouer que je n’en reviens pas trop ! Lorsque la journaliste de TF1 m’a contactée, j’ai franchement cru à un spam, mais finalement ça m’a fait une chouette expérience de plus dans ma courte vie !
📍POINT RENCONTRES : je donne en septembre prochain mon quatrième cours à l’Académie Les Mots Raturés de Margot Dessenne ! Au programme cette fois-ci “Lancer son podcast d’écrivain·e et enfin prendre la parole !”. Et oui, après 2 ans de podcasting, je me suis dit qu’il était enfin temps de partager mon expérience dans un atelier en live. Si ce cours (en live le mardi 10 septembre à 20h) vous intéresse, n’hésitez pas à passer par ce lien spécifiquement qui est affilié (je touche donc une petite commission dessus) et à vous inscrire pour y participer !
🧗♀️ Mes vacances d’été
Pour le coup, la plage, très peu pour moi cette année !
J’ai commencé le mois de juillet avec la fin du premier jet de Dissidents, donc avec pas mal de boulot. J’ai commencé par une petite semaine au vert à la montagne avant d’enchaîner avec mon déménagement à Paris (et l’enregistrement de l’interview TF1 le lendemain !).
Petite aparté cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques qui m’a laissée absolument bouche bée et qui m’a arraché quelques larmes. C’était tout bonnement grandiose, et je pense que ça nous marquera en tant que Nation (tout comme les jeux en eux-mêmes) pendant encore longtemps ! Hâte d’être de retour à Paris pour les Jeux Paralympiques qui commencent très bientôt :)
Je suis ensuite partie trois semaines en Slovénie avec ma mère et mes grands-parents maternels. C’était un très chouette pays à découvrir, même si j’ai été surprise de ne pas retrouver d’identité nationale très forte, sans doute à cause de son histoire, car c’est un pays de l’ex-Yougoslavie. Mais nous avons vu de très beaux endroits (notamment des grottes, cascades et rivières à tomber à la renverse), mangé d’excellentes pizzas, fait pas mal de randos et j’ai adoré Ljubjana, la capitale du pays qui est devenue l’une de mes capitales européennes préférées ! En tout cas c’était assez intense et dépaysant, de quoi revenir à la rentrée avec la tête bien rangée et le corps bien rechargé !









Je vous écris depuis chez ma mère, à côté d’Aix-en-Provence, et je rentre demain à Paris, avec tout plein de projets dans la tête, et un tome 2 à écrire. J’ai notamment envie de reprendre du service sur le podcast avec un rythme d’un épisode par semaine, en alternant les interviews/tables rondes avec les formats solo et j’ai pleiiiins d’idées de guests que je dois encore contacter !
Enfin bref, je rentre bien reposée, bien motivée pour partir à l’attaque de cette nouvelle année scolaire (ouais, j’ai 20 ans, la nouvelle année pour moi c’est encore septembre haha).
Qui dit rentrée, dit travail, et la manière dont on le gère. C’est pourquoi notre sujet du jour n’est autre que :
👩🏼💻 Mon rapport à l’écriture et au travail : osciller entre le bore et le burn out
Mon histoire avec l’écriture
J’ai commencé à écrire à 10 ans, en sixième, lorsque j’ai eu pour la première fois accès à un ordinateur “à moi” : ceux du CDI. Franchement, je vous passerai les détails de cette sinistre histoire d’enlèvement d’Emma Watson dont le premier et seul chapitre écrit en 2014 est fort heureusement enterré quelque part dans les limbes d’une vieille clé USB. J’ai ensuite fait mon premier essai de roman en classe de quatrième, à 13 ans, avec une fantasy bourrée de clichés qui a rapidement vécu sur Wattpad avant d’être à son tour mise au placard. Mon premier “vrai” roman écrit s’appelle 1944, Résistance et raconte l’histoire d’une famille qui s’engage dans la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Avec près de 100.000 mots au compteur, cette histoire est toujours dispo sur Wattpad, mais je vous préviens tout de suite : elle n’a pas et n’aura sans doute jamais de fin.
Mais le moment où j’ai véritablement commencé à écrire “sérieusement” c’est en septembre 2022, avec “Dissidents”. Pour la première fois, j’avais un plan (bien que beaucoup trop vague), des objectifs et de vraies séances d’écriture. Pour la première fois aussi, je voulais être publiée en maison d’édition.
J’essaye de me comprendre et de respecter mon rythme
C’est donc avec Dissidents que j’ai testé le plus de choses. Me lever tôt le matin pour écrire, écrire dans des cafés, écrire à plusieurs, faire des plans, ne pas faire de plan, avoir de vraies fiches personnages, communiquer autour de mon roman, faire des retraites d’écriture toute seule dans un cabanon à la montagne… J’ai la sensation d’avoir vraiment testé beaucoup de choses et d’avoir fait aussi beaucoup d’erreurs, mais dont j’ai énormément appris, comme je vous l’expliquerai après dans cette lettre. Et il y a bien UNE chose que m’a enseignée l’écriture du premier tome de cette saga : nous avons tous·tes une manière de fonctionner qui nous est propre. Ce qui marche pour untel ne fonctionnera pas forcément pour moi. Nous n’avons pas tous·tes le même temps à accorder à l’écriture, ni les mêmes ressources. Alors voilà ce que j’ai compris sur moi, et ma manière de fonctionner :
Lorsque j’ai des journées entières devant moi :
Je suis beaucoup plus créative le matin. Je dois en profiter pour planifier, imaginer et commencer à écrire.
L’après-midi, on m’oublie. De 14h à 16h, je suis en pause technique. C’est alors le moment de ne rien faire, lire ou faire des trucs “utiles” qui ne me demandent aucun investissement émotionnel ou intellectuel. Genre les courses, les lessives, le ménage, la cuisine (que des tâches vraiiiimeeent 👌🏻).
Le soir, c’est le moment où j’ai du temps. De 17h à 23h, je peux m’organiser de très longues séances d’écriture durant lesquelles je ne serai pas interrompue. C’est le moment du sprint, si je le sens. À ne pas reproduire trop souvent quand même.
De manière générale :
J’ai beaucoup de mal à être “consistent” en anglais, c’est-à-dire à tenir dans la durée. Je fonctionne un peu par pics d’énergie aléatoires et j’ai du mal à répartir ma motivation sur le long terme pour mener des projets jusqu’au bout. En avoir conscience est déjà une bonne chose et j’aimerais travailler dessus.
Parfois, ce n’est juste pas le moment d’écrire. Je ne suis pas au top de ma santé mentale, ou j’ai d’autres préoccupations importantes, ou d’autres obligations. C’est normal, et c’est ok.
Et comme je suis une p*tain de locomotive à vapeur : j’oscille en permanence entre le bore et le burn out (en anglais littéralement s’ennuyer à mourir ou “cramer” d’épuisement). Donnez-moi trop peu à faire et à penser, je mouline dans le vide et je déraille. Donnez-moi trop et je fonce droit dans le mur.
Sincèrement, au printemps dernier lorsque j’étais à Dublin, j’ai frôlé le burn out. Je l’ai senti dans ma tête et dans mes os. Je suis allée titiller mes limites en travaillant tous les jours (sur mes cours de fac ou sur la réécriture de Dissidents) de 8h à 23h, parfois plus tard. Et croyez-moi, it sucks. Genre, vraiment.
Si Instagram et LinkedIn nous ont habitué·es à croire que la productivité était un but en soi, le surmenage a way of life et le burn out un simple aléa dans la vie de ceux qui réussissent vraiment, il n’en est rien.
Je ne mâcherai pas mes mots : c’est la preuve d’un échec.
L’éclat du manque de recul que l’on finit par avoir quand on travaille trop sur un projet et qu’on en oublie tout le reste, y compris le peu que l’on se doit à soi-même en tant qu’humain : notre bien-être physique et mental. En tout cas de mon côté, j’ai été incapable de savoir m’arrêter avant de finir sur les rotules. Je ne tenais littéralement plus debout à l’aéroport en rentrant de Dublin et il m’a fallu plusieurs semaines pour récupérer. Je ne veux plus jamais ça. Plus jamais me buter au travail à n’en plus manger (sauf des ramens lyophilisés snif) ni dormir. Plus jamais “persévérer” jusqu’au ridicule pour me prouver à moi-même que j’en étais capable. Maintenant, on arrête les bêtises et on fait bien les choses. Et pour ça :
Faire le tri et faire des choix
Et yes les potes.
Dans la vie, il faut faire des choix (no joke Sherlock). Savoir ce qui est vraiment important pour nous et pourquoi. Avoir des priorités, les connaître et les respecter. Voici les miennes, en ce moment :
Assurer ma rentrée et mon année, aussi bien du point de vue scolaire que relationnel.
Retrouver une santé physique à minima convenable (fini les ramens tous les soirs).
Avoir écrit le premier jet du tome 2 de Dissidents d’ici la fin d’année.
Animer le podcast régulièrement.
Tout ça, ce sont des choses qui prennent du temps et de l’énergie. Mais avec un poil d’organisation, je suis certaine que c’est possible. Voici donc ma liste de bonnes résolutions que j’aimerais mettre en place et tenir sur le long terme.
Ce que j’aimerais (idéalement) mettre en place à la rentrée
Faire plus de sport. Je me suis récemment remise à l’escalade que j’ai un peu pratiquée au lycée et j’aimerais y aller beaucoup plus souvent. Ça me permet à la fois de me vider la tête et de me sortir de mon inactivité physique qui m’a fracassée cette dernière année (en échange à l’étranger c’était compliqué et surtout ce n’était pas l’une de mes priorités !). Je veux également retourner plus à la piscine, parce que j’adore nager. Alors certes, on est loin des 15 heures de danse que je faisais au lycée chaque semaine, mais quand même. J’essaie de me fixer de petits objectifs faciles à tenir (la consistency tout ça tout ça). L’idée est de tourner autour de 4-5 heures de sport par semaine.
Manger mieux. Et essayer d’aller plus loin dans le flexitarianisme (manger moins de produits d’origine animale).
Écrire de manière plus organisée. Ça passe à la fois par une meilleure planification de l’histoire en elle-même et une meilleure gestion de mon temps. J’ai fait le calcul, pour atteindre mon objectif d’un premier jet de 100.000 mots d’ici fin décembre 2024, je dispose de 4 mois, soit 16 semaines (je préfère mesurer en semaine, en jour c’est vite culpabilisant si on n’atteint pas notre objectif et en mois c’est trop abstrait). Je dois donc écrire exactement 6250 mots par semaine. C’est LARGEMENT faisable pour mon rythme d’écriture. MAIS cela nécessite que je sois organisée et que j’y accorde du temps. Ça tombe bien ! Je n’ai pas cours de la journée les lundis ni les mardis et mercredis après-midi. Je dispose donc de 4 jours par semaine (en comptant les week-ends) sur lesquels je peux écrire.
Mieux m’organiser pour le podcast. C’est à dire avoir plus d’avance dans mes épisodes et éviter au maximum de publier en flux tendu et de me retrouver le dimanche soir avec le couteau sous la gorge parce que je suis en retard pour mon épisode du jour. J’aimerais aussi m’améliorer en interview !
J’en profite pour faire un petit aparté communication. Vous l’avez peut-être remarqué (ou pas !) mais mon feed Instagram en ce moment, c’est du N’IMPORTE QUOI. J’ai pris une pause des réseaux sociaux (pour mon plus grand bien ! Et il est d’ailleurs prévu que je reçoive des autrices que vous connaissez déjà sur le podcast pour en parler) mais maintenant, je ne sais plus du tout quoi faire. En plus, on a appris récemment que le feed Instagram allait changer pour devenir rectangle et ça va tout chambouler… Bref, je suis PERDUE dans ma com’ mais je vais essayer de lâcher du lest et on verra ce que ça donne !
Passons maintenant à :
🧙🏻♀️ Ce que j’ai appris de l’écriture du tome 1 de Dissidents
Il y a un truc qui tourne dans ma tête depuis un petit bout de temps. Une question que l’on pose souvent en interview, que l’on entend régulièrement : “que diriez/conseilleriez-vous au vous de X ans”. Question pertinente en soi, mais qui vient titiller quelque chose chez moi, à savoir un précepte avec lequel j’ai grandi. “On apprend en faisant”.
Je trouve que ça s’applique pas mal à l’écriture qui est l’un des rares domaines exclusivement composés d’autodidactes ou chacun·e fait ses armes un peu comme il/elle le peut. Je suis intimement persuadée que même si j’avais eu les conseils que je m’apprête à vous partager au début de l’écriture de Dissidents (et j’en ai eu, à l’époque), j’aurais quand même BIEN galéré. Finalement, rien ne sert autant que l’expérience, et l’échec. C’est d’ailleurs un sujet sur lequel j’interview régulièrement mes invitées sur le podcast (entre autres cette interview d’Alex Aster, l’autrice #1 best-seller du New York Times avec sa saga Lightlark) car je suis ✨fascinée✨ par l’échec, par ce qu’il nous enseigne, par ce qu’on en retire, pour ce que révèle la manière dont nos sociétés le considèrent. Ne prenez surtout pas ce que j’écris pour argent comptant. Prenez ce qui vous parle, ce qui vous intéresse et jetez le reste. Comme cette newsletter est un peu mon journal intime d’autrice, ça me permettra d’en garder une trace.
💡 Rappel : j’ai eu l’idée de “Dissidents” à l’été 2021, j’ai commencé l’écriture du premier jet le 24 septembre 2022, je l’ai fini le 8 octobre 2023. J’ai commencé mon deuxième jet le 21 décembre 2024 et je l’ai terminé le 5 juillet 2024 pour un total d’environ 100.000 mots actuellement.
Ton roman ne va pas s’écrire tout seul. Si tu veux un jour l’avoir entre tes mains, il va falloir te retrousser les manches et bosser, bosser, bosser.
PLANIFIE nom d’un caniche à poils arc-en-ciel !!!! Tu n’arriveras à rien si tu ne sais pas où tu vas ni comment tu y vas. Alors avant de foncer tête baissée dans la mêlée en espérant que peut-être sur un malentendu ça finisse miraculeusement par marcher, PLANIFIE. Tout, dans les moindres détails. Tu t’achèteras la sérénité.
Entoure-toi des bonnes personnes.
Préoccupe-toi moins des réseaux sociaux et de la com’. Écris d’abord, et on en reparle après.
Dans la même veine : hiérarchise mieux tes priorités. Tu as 1440 minutes dans une journée, accordes ton temps aux choses vraiment importantes.
Ne te mets pas autant la pression. Traites toi aussi bien que tu traiterais n’importe qui d’autre.
Mange mieux, fais plus de sport, sors plus, bois plus, ris plus, passe plus de temps à vivre, et aussi à ne rien faire. Et dors, où je t’assomme.
Trust the process.
N’écoute pas mes conseils (sauf quand je dis de dormir).
Pour celles et ceux qui lisent me newsletter jusqu’au bout, sachez qu’une big big big BIG news arrive le 6 septembre, notez bien la date dans vos agendas. Et si vous voulez des indices, remontez le fil, tout est déjà là ;-)
🎨 Une pile de recommandations (de quoi vous sustenter à la plage)
Cette newsletter sort un peu plus tard que prévu, donc je ne sais pas trop dans quelle mesure certain·es d’entre vous sont encore à la plage, mais mes recommandations sont là ! Et on en a vraiment pour tous les goûts !
Pour rappel, tous les textes en marron sont des liens !
Le Comte de Monte Cristo : j’attendais la sortie de ce film depuis DES ANNÉES. Sachez, mesdames et messieurs que je fais partie des fans de la première heure de Pierre Niney, que je suis depuis le film culte de mon enfance, j’ai nommé “LOL”. Je peux donc affirmer que j’étais fan de Pierre Niney depuis 2009 et je me jette sur chacun de ses films depuis. Bref, sans surprise j’ai absolument ADORÉ Monte Cristo, un vrai chef-d’œuvre du cinéma français (n’en déplaise aux Américains qui l’ont trouvé trop franchouillard). Si vous ne l’avez pas déjà vu, foncez ! (Si vous pouvez encore supporter les gens qui vous le recommandent haha).
Inside Kaboul : dans un tout autre registre, un podcast de France Inter signé Caroline Gillet. Je l’ai découvert en écoutant la radio sur la route de mon déménagement à Paris et j’ai été profondément touché par l’histoire entremêlée de Raha et Marwa, deux jeunes Afghanes dont la vie bascule à l’arrivée des talibans, qui partagent leur quotidien à mille lieues du nôtre sous forme de notes vocales. Un propos juste et sensible, à écouter absolument !
Comment jouir de la lecture de Clémentine Beauvais : je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en achetant ce petit feuillet de la Collection Alt de La Martinière Jeunesse, que j’aime beaucoup. Je connaissais un peu Clémentine Beauvais, sa plume vive et déroutante, et j’ai adoré ce petit essai sur la manière dont on se doit d’apprendre à nous connaître en tant que lecteur·ice et à se forger un palais littéraire. Très intéressant et accessible (3,50€ !!), je vous recommande de chercher les petits feuillets d’Alt la prochaine fois que vous flânez en librairie !
Shades of Magic de Victoria Schwab : UNE PÉPITE. UNE MASTERPIECE. MA SAGA PRÉFÉRÉE DE TOUS LES TEMPS ET DE LA TERRE ENTIÈRE. Voilà. De la magie. Londres. Des antagonistes fascinants. Des protagonistes brûlants de panache (Lila et Kell >>>). Un univers original et éblouissant. Une plume absolument DIVINE. Je vous jure que si vous aimez un tant soit peu la fantasy YA, vous ALLEZ aimer, je ne vois pas d’autre option. J’ai dégommé les trois tomes de cette saga (dont la suite, Threads of Power, est déjà sortie en France !) en moins de 10 jours et ce fût un PLAISIR. Je me languis de lire son prochain roman Bury Our Bones in the Midnight Soil qui sera publié chez Lumen également, mais en attendant j’ai les sagas de Vicious et This Savage Song à découvrir pour me faire patienter !
Merci de m’avoir lue jusqu’au bout ! Sur ce, j’ai une to-do liste de retour de vacances longue comme le bras à affronter, donc je vous laisse ici et je vous dis à très bientôt pour une nouvelle newsletter qui sera TRÉS spéciale 👀
Tosca ✨
“Toutes les petites choses” est une newsletter gratuite, et le restera. Si néanmoins vous souhaitez soutenir mon travail, vous pouvez m’offrir du carburant un thé (3€) sur Buy Me a Coffee.
C'était une newsletter vraiment géniale et très intéressante !! Tout était passionnant ; félicitations pour l'écriture de Dissidents en tout cas !! Tu peux être fière de toi ! Tu me motives, haha c'est chouette ! Et j'ai hâte d'être le 6 septembre du coup... Tu m'intrigues !! Toujours un plaisir de lire de tes nouvelles !! Bonne fin de vacances et bonne rentrée à toi !! 💕
Coucou ma petite Tosca, Toujours très heureux d'avoir de tes nouvelles et de voir que ça va bien pour toi. Tu es baignée dans ta littérature et c'est très bien. Je suis installé près de Nantes à Saint-Sébastien-sur-Loire où je tente de me remettre de la mort de Anne-Marie, à quelques km de chez Julien, Timothée est un peu plus loin, je regarde passer le temps et j'écoute mes souvenirs. Encore merci de ne pas m'oublier et je t'embrasse affectueusement. Papi