Montreuil, retour du UK, stress de réécriture et bilan de 2023
☕️ Un thé ensemble en Décembre
Heyyy ✨
Comme on se retrouve !
Avant toute chose, un grand MERCI pour vos nombreux retours à la sortie de ma première newsletter le mois dernier. Je suis ravie que le format vous plaise ! D’ailleurs, n’hésitez pas à rameuter du monde. Après tout, plus on est de fous, plus on rit.
Alors, on en est où, un mois après cette première newsletter ? Préparez-vous un thé, je vous embarque avec moi dans ma rétrospective de ce mois de décembre 2023 !
📅 L’évènement de Décembre : le SLPJ de Montreuil
🇬🇧 Retour d’Angleterre, bilan d’un semestre d’échange
⏳ Le retour au calme après la tempête
Une mois au ralenti pour écrire
Le stress de la réécriture
💡 La réécriture : accepter de killer mon darling
Dire bye bye à mes (meilleures) idées
Foncer tête baissée dans la mêlée
🎙️ Focus sur “Lit Thé Ratures”
🎉 Bienvenue, 2024
Rétrospective sur l’année 2023
Projets et objectifs de 2024
🎨 Le menu de Noël (ok, toujours les recommandations)
📅 L’évènement de Décembre : le SLPJ de Montreuil
Et oui ! Cette fois je commence par l’évènement du mois de décembre qui n’est autre que… Montreuil ! Enfin, plutôt, pour les novices, le “Salon du Livre et de la Presse Jeunesse” ayant lieu chaque année début décembre à Montreuil, près de Paris. En gros, pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’une ruche géante (sur deux étages, quand même !) où se côtoient pendant une semaine tous les acteur·rices s du monde du livre : auteur·rices, illustrateur·rices, éditeur·rices, journalistes, lecteur·rices, influençeur·euses littéraires, chargé·es de presse, exposant·es… La liste n’en finit plus ! Et c’est bien l’attrait de Montreuil, créer un évènement géant mettant à l’honneur la littérature jeunesse !
Cette année, j’ai sorti un vlog, qui est dispo juste ici, donc je ne vais pas me répéter. Je vais plutôt m’attarder sur mon ressenti.
Est-ce que j’ai kiffé ? Oui. Est-ce que c’était un moment hors-du-temps ? OUI. Est-ce qu’il n’y avait que du positif ? Arf… C’est en demi-teinte.
Peut-être est-ce la magie du salon qui se perd avec les années ? Ou moi qui grandit ? Ou le contexte politico-médiatique global ?
Je ne sais pas. Et même si, pour la première fois cette année (c’était déjà mon 3e SLPJ wow !!), j’ai réussi à éviter le fameux coup de blues post-Montreuil qui m’avait littéralement TERRASSÉE les autres années, je n’ai pas vécu le shoot d’émotions 100% positif que j’avais eu les autres années. Notamment, parce que… Et bien… Je dois le dire, je me sentais un peu comme une bouse. Voir toutes mes amies autrices dédicacer leurs (incroyables) romans m’a remplie de joie et de fierté pour elles (à tel point que j’en avais les larmes aux yeux parfois) mais… Et moi ? Est-ce qu’un jour j’aurai aussi cette chance ? De dédicacer à Montreuil (et sans être seule derrière ma table si possible haha) ? Est-ce que j’aurai des ami·es qui seront là ? Et surtout : est-ce que je ne fais pas tâche, parmi elles ?
Est-ce que j’ai ma place, dans ce monde de mots et de rêves ?
Finalement, même si j’ai eu par deux fois l’occasion de discuter de mon roman avec des éditeur·rices potentiellement intéressé·es par mon roman (et je dis bien POTENTIELLEMENT, ils n’ont encore rien lu de moi donc je peux me prendre un gros stop à tout moment) (par contre vous avez vu la newsletter comme je vous chouchoute à vous balancer des bombes comme ça oklm ??), la possibilité de voir un jour mon roman sur une table de dédicace ne m’a jamais parue aussi lointaine :-(
C’est contradictoire, mais là, ça devient réel. D’ici quelques mois, je saurai si oui ou non mon roman trouvera sa place dans mes maisons d’édition goal, celles qui me mettent des paillettes dans les yeux et pour qui tout le travail fourni sur Dissidents a du sens. Donc oui, un peu en demi-teinte, et j’avoue avoir eu bien besoin de ma Chloé préférée pour me remonter le moral quand je phasais, roulée en boule contre un mur du Salon. Donc juste, j’en garde un souvenir incroyable, mais teinté de plus de pression de mon côté.
🇬🇧 Retour d’Angleterre, bilan d’un semestre d’échange
Aïe aïe aïe, ici aussi, on n’est pas que sur du positif. Hear me out, je ne dis pas que LONDRES n’avait pas que du positif, mais plutôt le retour. Ces quatre mois à Londres sont passés vitesse grand V. Je me revois, tout début septembre, chargée de mon immense sac à dos et de ma grosse valise, à traverser la France, puis la Manche pour rejoindre mon nouveau chez-moi. C’est comme si c’était hier.
Et en même temps, qu’est-ce qu’il s’en est passé, des choses !!
Des rencontres, des sorties, des escapades, des cours, des visites, des rires, des pleurs… De la vie, en somme. Brute. Contrastée. Vibrante. Et c’est fou ce qu’ils m’ont fait grandir, ces quatre mois loin de tout (enfin, loin de la France, I mean). J’ai tellement appris sur moi, et sur les autres. J’ai pleuré non-stop les 48 dernières heures avant de rentrer, en croisant partout les “dernières fois” qui me brisaient le cœur. J’ai complètement changé de perspectives sur les problèmes que j’ai retrouvé en rentrant. J’ai la sensation d’avoir grandi de 5 ans en un semestre. Même ma famille me trouve changée, tellement c’est flagrant. Et qu’est-ce que ça fait du bien, de se trouver après des années à naviguer à vue et à me prendre mur sur mur ! Et puis, parce que cette newsletter est là pour partager, et que je suis convaincue que l’on apprend de l’expérience des autres, voici, à toutes fins utiles, les leçons de vie que j’en tire :
C’est à nous d’imposer aux autres le respect qu’ils nous doivent. Et j’entends par là : c’est de notre devoir (en tant qu’adulte, ou presque) de s’entourer de personnes qui veulent notre bien et qui sont là pour les bonnes raisons. C’est notre responsabilité de faire le tri entre ce qui est bon pour nous et ce qui ne l’est pas. Nous ne sommes pas les victimes de nos relations, nous en sommes les acteur·rices.
Leçon de Zach (voir plus bas) : nous sommes responsables / à l’origine de 95% des choses qui nous arrivent dans la vie. Et pour les 5% restants, et bien, nous sommes responsables de notre réaction, donc de presque tout. La manière dont nous réagissons aux choses de la vie en dit très, très long sur nous.
S’ouvrir aux autres apporte toujours du positif. Il faut être au monde sans filtre. Moi, en tout cas, je veux l’être.
Bon voilà, je clôs la partie philo. Et maintenant place à la partie nostalgique que j’ai écrite dans le Starbucks de l’aéroport de Gatwick, le jour de mon retour (j’ai failli écrire “départ”, ça en dit long…).
Choses que j’ai apprises en vivant un semestre universitaire à Londres :
La vie est CHÈRE, du genre VRAIMENT chère (sauf les restos, étonnamment)
Il pleut
tout le tempsbeaucoup dès la fin du mois d’octobreLondres est vraiment multiculturelle. Parfois, j’aurais aimé être plongée dans un environnement plus authentique et moins ressentir cet effet “ville-monde” même si ça a ses avantages (les restos thaï, majoritairement)
La pédagogie des profs est radicalement différente, beaucoup plus bienveillante
Tout est propre (notamment le métro) MAIS les gens jettent leurs déchets n’importe où (wtf ?)
Partir vivre à l’étranger aide surtout à prendre confiance en soi dans la langue, à réaliser qu’on s’en sort mieux qu’on ne le pensait
Je sais vivre seule dans un pays qui n’est pas le mien
Même après un semestre, je ne comprends toujours pas comment fonctionne la Circle Line, ni la Northern, ni la District
J’aurais dû faire moins de choses (notamment dans l’écriture et le podcast), moins me mettre la pression
Quand bien même je connais bien le Royaume-Uni et je suis presque bilingue, je n’y serais jamais chez moi comme les gens de là-bas y sont chez eux
C’est vraiment le pays d’Harry Potter (pour mon plus grand plaisir)
On a été épargnés par les punaises de lit
Ce qui va me manquer :
La nuit où il fait jour dans ma chambre ; même si j’ai eu beaucoup de mal au début, j’ai une petite affection pour ce lampadaire qui a éclairé mes nuits pendant quatre mois
Dans la même veine : les sirènes des ambulances au son si particulier
Mes amis et toutes les nouvelles relations que j’ai nouées là-bas (notamment Zach, mon prof de développement personnel et de théâtre)
Mes cours de théâtre
La street-food à n’importe quelle heure du jour où de la nuit (manger thaï et libanais sans y laisser un bras >>>>>)
Mes trajets en bus dans la ville
Les décos de Noël sur Oxford street
L’insouciance
L’anglais (mais je vais le retrouver puis que je pars le 20 janvier pour un deuxième semestre à Dublin !)
⏳ Le retour au calme après la tempête
Piouf ! Ils ont été intenses, ces derniers mois. L’enchaînement partiels-démménagement-stage-Londres a été quelques peu éprouvant, et je m’accorde des vacances bien méritées chez ma mère, dans la maison de mon enfance. Mais dès mon arrivée (et conséquence directe de Montreuil), l’envie de me m’atteler à la réécriture de Dissidents s’est mise à me fourmiller au bout des doigts. Et en même temps, jusqu’à il y a quelques jours avant d’écrire cette newsletter (le 21 décembre), j’avais diablement, terriblement peur. Oui PEUR. On dirait que mon manuscrit allait me bouffer lol.
Non plus sérieusement, j’étais un vrai chat pris dans les phares. Où commencer ? Que faire ? Quelles sont les priorités ? Que faut-il que je dise à mes BL* pour les tenir au courant ? Comment m’organiser pour que tout soit réécrit d’ici mon départ à Dublin ?
Parce que oui, j’apprends de mes erreurs, et j’aimerais éviter de faire comme à Londres et de :
Option A : Stresser quand je suis à écrire chez moi parce que je ne profite pas assez de Londres
Option B : Stresser quand je suis à vadrouiller dans Londres alors que j’ai un bouquin à écrire
(Option C : Le coma éthylique, mais je m’abstiendrais de vous raconter mes déboires d’étudiante à Londres, je tiens à ma crédibilité).
Et puis, aussi, je le réalise tout juste en vous l’écrivant, mais tout ça, c’est nouveau. Moi qui n’avais jamais réellement mis un vrai point final à un manuscrit, je me suis retrouvée un peu démunie. Malgré tous les podcasts/livres/comptes Insta dont je m’infuse quotidiennement le contenu pour apprendre l’Écriture au sens large, ça ne vaut pas l’expérience. Et l’expérience, en matière de vraie réécriture de vrai premier jet achevé, qui plus est dans un contexte où je dois bientôt l’envoyer à des éditeur·ices, je ne l’ai pas. Donc j’ai stressé un bon coup (et chouiné dans les bras de ma maman aussi) et puis je me suis mise au travail. Baby step by baby step, comme dirait Zach, cette icône.
(*Je suis en recherche active de bêta-lecteur·rices. Donc si vous avez un peu de temps et d’expérience, et l’envie de découvrir ma dysotpie, vous savez où me trouver ;-)
💡 La réécriture : accepter de killer mon darling
Oui, vous avez bien lu. Et si l’expression “kill your darling” ne vous est pas familière, voici le topo. “Kill your darling” veut littéralement dire “tuer ton chéri”. Ah là, c’est sûr, tout est limpide, j’en suis certaine ! Bon ok, j’arrête. En gros, l’idée, c’est de dire bye-bye aux idées auxquelles on tient pour le bien de notre projet (de quelque nature qu’il soit). Par exemple moi, une idée que je voulais ABSOLUMENT avoir dans le tome 1 de Dissidents, c’est un incendie. J’ai la scène très précise en tête. Qui sauve qui. Qui meurt (oups). Qui survit.
Mais, pour le faire rentrer dans mon tome 1, jusqu’à récemment, j’étais prête à tordre mon scénario dans tous les sens, jusqu’à le dénaturer. Jusqu’à atteindre le non-sens. Lorsque j’ai réalisé qu’en plus, cette histoire d’incendie me bloquait complètement dans l’écriture, tout simplement parce que ça ne fittait pas, j’ai eu un petit moment de solitude. Et mes flammes alors ? Ma fumée âcre et épaisse dans laquelle je voulais voir s’étouffer mes personnages ? Snif.
Une fois cette étape un peu puérile passée (puérile ET larmoyante), j’ai accepté de faire machine arrière. Plus d’incendie (mais une course-poursuite, je n’en dirai pas plus). Et puis en plus, je pense pouvoir caser mes flammes meurtrières dans le tome 2, donc ce n’est que partie remise (i’m coming for youuuu hehe). Et de manière générale, il m’a fallu accepter que certaines idées, certains instincts étaient faits pour ce roman, et d’autres non. Et je me demande d’ailleurs si ce ne serait pas un peu la tare de tous les écrivains débutants… Non ? Tenez, c’est noté, je vous en ferai un épisode de podcast !
Donc, où en est-on de cette réécriture ? Au moment où je vous écris j’ai déjà :
Refait les plans du van dans lequel mes personnages voyagent (c’était essentiel pour que je puisse visualiser les espaces)
Rempli un super workbook (attention dispo uniquement en anglais mais clairement un MUST-HAVE) qui m’a permis de beaucoup mieux cerner la backstory et le personnage de Jo (l’un de mes personnages chouchou, mais que je ne comprenais pas entièrement avant).
Écrit toute l’histoire de mon univers. Pour le mini pitch : mon histoire prend place 30 ans après une crise de la fertilité. Parmi les naissances : plus aucune petite fille. En France, une milice a pris le pouvoir et le gouvernement a rétabli un semblant d’ordre dans le pays, laissé à feu et à sang par une guerre intestine. Voilà, en gros. Du coup il fallait décrire, année par année, tout ce qui se passait pour amener la France que l’on connaît à celle de mes personnages. Merci les études en sciences politiques.
Commencé à attaquer mes plans de réécriture. Vu que j’y vais au bulldozer pour cette première réécriture, c’était nécessaire de faire un plan détaillé, chapitre par chapitre, pour savoir où je vais.
🎙️ Focus sur “Lit Thé Ratures”
Ce mois-ci, presque que des épisodes solo !
68 - De retour du Salon du Livre de Montreuil : dans une version un peu édulcorée, mais plus exhaustive, je vous raconte le week-end de Montreuil, à combiner avec le vlog !
69 - Mes quinze meilleures lectures de l’année : dans lequel je vous présente mes 15 livres préférés (sans blague) de 2023. Et ça envoie DU LOURD. D’ailleurs, j’étais partie sur 10, mais j’étais incapable de faire un choix, donc 15 ce sera.
BLABLABOOK - L’auto-édition en vaut-elle le coût ? : oui, il s’agit d’un jeu de mot, mais je le trouvais on ne peut plus approprié. Dans cette table ronde, je reçois (avec un plaisir certain) mes deux amies autrices Morgane Lucet Laura Mahieu pour parler chemin d’édition, différence de traitement réservé aux auteur·rices AE, charge mentale et émotionnelle, etc.
71 - Une FAQ pour Noël (Écriture, roman, podcast, projets, maisons d’édition…) : dans lequel je réponds à toutes VOS questions sur mes projets, l’écriture, le podcast, la newsletter, la santé mentale, etc.
72 - Rétrospective de 2023 et mes projets de 2024 (à venir, le dimanche 31 décembre à 8h) : dans lequel je fais le bilan de cette année et j’établis mes projets et objectifs de 2024 !
🎉 Bienvenue, 2024 !
Et oui, cette année touche à sa fin. Alors comme j’ai un épisode de podcast (71 - Rétrospective de 2023 et projets de 2024 qui sortira très bientôt) prévu sur le sujet, et un reel Instagram, je vais être assez factuelle.
Bilan de 2023 :
Une année contrastée, prise entre santé mentale qui dégringole et renouveau
Pleins de photos booksta dont je suis particulièrement fière comme celle-ci, celle-ci, celle-ci, CELLE-CI, celle-ci, celle-ci, celle-ci, celle-ci ou encore celle-ci. En vrai, cette année, je suis super contente parce que j’ai été en phase avec 100% de mon contenu, et ça fait du bieeennn :)
Beaucoup d’évènements, autant en tant qu’autrice que créatrice de contenus : Festival du Livre Paris, scènes ouvertes de poésie, évènement de Books on Demand, rencontres avec Alex Aster, Holly Black, semaine de dédicaces dans toute la France, soirée de lancement de Cassandre Lambert
La parution d’un recueil de poésie : même si le plan comm’/marketing m’a un peu déçue, je suis tout de même heureuse de voir ce livre si important à mes yeux sur les tables de librairies
Mes premiers partenariats rémunérés, notamment avec WriteControl qui a sponsorisé une saison entière de Lit Thé Ratures
Ma vie à Londres et tout ce qui en découle
Mon stage de deux mois cet été chez Édi8 (Slalom et Poulpes Fictions) qui m’a ÉNORMÉMENT appris
Sans doute la plus belle réussite de mon année : avoir réussi à finir mon premier jet. Ce n’est peut-être pas grand-chose pour certain·es mais ça représente une immense victoire sur cette année entière d’écriture passée à galérer, être bouffée par les doutes et les remises en question et aussi l’espoir que ça me donne de me dire qu’un jour, peut-être, il sera entre vos mains.
Projets et objectifs d’autrice de 2024 :
J’en fais le serment, je respecterai ces résolutions (watch me échouer et revenir fin 2024 en mode sorry not sorry) :
Faire de l’écriture une priorité
Ralentir encore les SP, prioriser la qualité sur la quantité
Continuer à produire pour le podcast
Mes objectifs, à atteindre si possible :
Réécrire et envoyer Dissidents en maison d’édition
Décrocher un contrat pour Dissidents (dream big, as they say)
Écrire le premier jet du tome 2 (il s’agit d’une duologie)
Écrire le contemporain YA qui me titille (si je peux)
Lire plus en anglais
Atteindre les 20k écoutes sur Lit Thé Ratures
🎨 Le menu de Noël (ok, toujours les recommandations)
Bon, je vais faire court, car cette newsletter a déjà été bien plus longue que prévu haha.
Un compte Instagram à suivre : @schoolofplot. Visiblement, je suis la dernière de mes copines à découvrir ce compte, mais écoutez, il faut un début à tout. Voici donc un compte Instagram d’une richesse absolument incroyable pour les auteur·rices. Conseils d’écritures, suggestions, fiches personnages, tropes, genres littéraires, tout est abordé avec une précision infinie et je le trouve vraiment très TRÈS inspirant, donc je partage.
Le documentaire de Jeannot se livre sur l’usage de l’intelligence artificielle dans la littérature : un reportage très bien construit, pertinent, sourcé, intéressant, qui offre une vraie vue globale sur le sujet, à regarder !
Pas de musique cette fois mais un artiste : David Kushner que vous connaissez très certainement pour “Daylight” mais qui a aussi plein d’autres titres incroyables que je vous conseille très fort d’aller écouter : Burn, Dead Man, Mr. Forgettable, Cigarettes… QUE DES BANGERS.
Une autre vidéo YouTube : Cillian Murphy et Margot Robbie qui s’interviewent l’un-l’autre pour parler du phénomène Barbenheimer (je n’ai vu aucun des deux films, honte à moi, mais je compte bien me rattraper).
Sur un tout autre sujet, encore un vidéogramme YouTube : Pourquoi la fin du monde nous fascine ? de Cyrus North qui fait vraiment réfléchir, surtout pour moi, humble autrice de dystopie. Pour le coup, je suis assez sceptique sur le film “Le monde après nous”(même si je reconnais le talent cinématographique), mais la vidéo avec la vibe philo-pop culture de Cyrus North qui en parle est très cool !
Avant d’oublier, je vous rappelle juste que vous pouvez répondre à cette newsletter par mail ou sur le site de Substack (ça fait toujours fondre mon petit coeur de vous lire en retour) et surtout SURTOUT la partager autour de vous !
Allez, c’est tout pour moi ! Je vous fais des bisous et je vous retrouve en 2024 après deux bonnes semaines d’écriture chez ma grand-mère en Bourgogne !
Des bisouuuuus <3
ET BONNE ANNÉE 2024 !!!!!!!!
Tosca ✨
“Toutes les petites choses” est une newsletter gratuite, et le restera. Si néanmoins vous souhaitez soutenir mon travail, vous pouvez m’offrir du carburant un thé (3€) sur Buy Me a Coffee.